Au burin et à la pointe sèche, elle fait naître des univers iconographiques, où, à travers la nature sous toutes ses formes, sous le sens caché des apparences, s’exprime son questionnement intérieur.
Né le 14 avril 1920 à Paris, Jacques Kikoïne, dit Yankel, se souvient de son père, de la Ruche, de ses débuts de peintre, de mai 68, de l’École nationale des beaux-arts où il fut professeur.
Ce troisième volet de la « trilogie séfarade » (après Rosa, je t’aime et La Maison de la rue Chelouche) narre l’histoire d’un homme âgé, père de plusieurs filles, obsédé par le désir d’avoir un descendant mâle.