Le mahJ invite l'artiste Yosef Joseph Yaakov Dadoune à investir les espaces du musée avec des œuvres emblématiques de son parcours et de ses questionnements.
Sculptures, peintures, installations visuelles et sonores, films et concerts... Charlemagne Palestine investit le mahJ à l’occasion d’une exposition personnelle, première du genre dans un musée français. Dans les écuries, il déploie une installation qui mêle œuvres historiques et nouvelles productions, faisant évoluer le visiteur au cœur de son univers foisonnant, où les peluches tiennent un rôle de premier ordre.
La donation d’œuvres de Max Wechsler au mahJ vient sceller un dialogue entamé depuis de longues années entre le musée et l’artiste, qui a reçu en 2003 le prix Maratier décerné par la fondation Pro mahJ.
Lauréat du prix Maratier 2015, Moshe Ninio, né en 1953 à Tel Aviv, occupe une place singulière au sein du paysage artistique contemporain.
Le mahJ présente deux œuvres récentes : Glass(es) (2010-2011) et Morgen (2010-2015).
L'une des pièces de l'installation de Jean-Pierre Bertrand pour le pavillon français de la Biennale de Venise de 1998, portait le titre énigmatique d'Ethrog. Ethrog, 1999, est installée dans la chambre du duc du mahJ, au moment de la fête de Soukkot.
Serge Lask peint l’absence, celle de sa mère assassinée par les nazis. Les quinze dernières années de sa vie, possédé par la nécessité de maintenir vivante une langue enfouie en lui et qui était devenue muette, il a entrepris de recopier inlassablement en yiddish les pages des livres de son enfance, manuels de grammaire ou ouvrages de littérature enfantine, puis les livres de la bibliothèque de son père.