L’artiste sud-africain investit les espaces du mahJ dans un parcours insolite. Gravure, sculpture et film d'animation se mêlent pour évoquer l’exil.
En partenariat avec la galerie Marian Goodman
En raison du prêt de l’arche sainte de Modène et du pupitre de Torah italien, pièces majeures de la collection Strauss, au museo dell’Ebraismo italiano e della Shoah à Ferrare, musée national récemment créé en Italie, le mahJ présente dans la salle italienne un accrochage exceptionnel de manuscrits enluminés des collections de la BnF.
Sculptures, peintures, installations visuelles et sonores, films et concerts... Charlemagne Palestine investit le mahJ à l’occasion d’une exposition personnelle, première du genre dans un musée français. Dans les écuries, il déploie une installation qui mêle œuvres historiques et nouvelles productions, faisant évoluer le visiteur au cœur de son univers foisonnant, où les peluches tiennent un rôle de premier ordre.
Sigalit Landau présente pour la première fois à Paris deux œuvres : un film, I Wanted Better for Her – Not Worse (2016) et une sculpture monumentale, Shelter [Abri] (2012), qui sera exposée dans la cour d’honneur de l’hôtel de Saint-Aignan jusqu’en mars 2017.
Lauréat du prix Maratier 2015, Moshe Ninio, né en 1953 à Tel Aviv, occupe une place singulière au sein du paysage artistique contemporain.
Le mahJ présente deux œuvres récentes : Glass(es) (2010-2011) et Morgen (2010-2015).