L’artiste sud-africain investit les espaces du mahJ dans un parcours insolite. Gravure, sculpture et film d'animation se mêlent pour évoquer l’exil.
En partenariat avec la galerie Marian Goodman
Sculptures, peintures, installations visuelles et sonores, films et concerts... Charlemagne Palestine investit le mahJ à l’occasion d’une exposition personnelle, première du genre dans un musée français. Dans les écuries, il déploie une installation qui mêle œuvres historiques et nouvelles productions, faisant évoluer le visiteur au cœur de son univers foisonnant, où les peluches tiennent un rôle de premier ordre.