Le mahJ invite l'artiste Yosef Joseph Yaakov Dadoune à investir les espaces du musée avec des œuvres emblématiques de son parcours et de ses questionnements.
L'exposition « Paroles et dessins des enfants de la maison d’Izieu » rassemble près de 150 photographies, documents d'archives et dessins d'enfants réalisés par les pensionnaires de cette colonie qui leur servit de refuge pendant la Seconde Guerre mondiale.
Invitée par le mahJ, Mili Pecherer présente Nous ne serons pas les derniers de notre espèce, un nouveau film en image de synthèse où s’entremêlent le récit du Déluge avec des préoccupations plus personnelles sur l’errance, la quête de sens, l’écologie, ou encore le dialogue entre l’humain etle monde animal.
L’île de Djerba, au sud de la Tunisie, abrite une des synagogues les plus anciennes et les plus célèbres au monde, la Ghriba. La communauté autour de cette synagogue, dont l’existence est attestée depuis le Moyen Âge, a été documentée par Jacques Pérez en 1979-1980, dans une série de photographies hautes en couleur qui illustre leurs traditions ancestrales.
Le mahJ présente les dessins de la série graphique The Parade de Si Lewen (1918–2016), réalisée en 1950. Peu connu en Europe, cet artiste américain d’origine polonaise a marqué la scène artistique américaine de l’après-guerre avec une œuvre conjuguant dessins, peintures et collages.
En écho à l’exposition « Chagall, Modigliani, Soutine… Paris pour école, 1905-1940 », le mahJ rend hommage à Hersh Fenster (Baranow, 1892–Paris, 1964), journaliste et écrivain yiddish, auteur d’Undzere farpaynikte kinstler (Nos artistes martyrs), publié à Paris en 1951. Tout à la fois mémorial et livre d’art, cet ouvrage retrace les trajectoires de 84 artistes juifs de la scène française qui périrent entre 1940 et 1945. Autant de peintres, de sculpteurs, d’illustrateurs, hommes et femmes, dont l’œuvre a été interrompue prématurément et parfois détruite.