Avec la participation d’Anne Hélène Hoog et Jacques Pessis, commissaires de l’exposition, d’Emmanuel Debono, historien, de Thierry Grillet, philosophe, de Philippe Landau, historien, de David Le Breton, sociologue, de Blandine Masson et Cédric Aussir, France Culture
Raymond Aron, l’un des plus grands philosophes du xxe siècle, fut également un témoin engagé de son temps. Appelant à armer la raison pour combattre les totalitarismes en 1938, puis à sauvegarder la liberté du monde occidental pendant la guerre froide, il plaida en faveur de la vérité face au stalinisme et à l’Union soviétique. Son œuvre d’analyste lucide des sociétés démocratiques éclaire toute l’histoire du xxe siècle et nous accompagne pour penser au présent.
Lauréat du Prix Maratier 2020 délivré par la fondation Pro mahJ, le plasticien Dove Allouche a été invité à porter un regard créatif sur les collections du mahJ, pour produire une œuvre inédite.
Sous la direction scientifique de Claire Soussen, université du Littoral-Côte-d’Opale ; Claude Denjean, université de Perpignan – Via Domitia ; et Pierre Savy, École française de Rome
Grâce au prêt exceptionnel du musée de Bat Yam (Israël), le mahJ présente, au sein du parcours des collections, un ensemble d’œuvres de jeunesse d’Issachar Ber Ryback (Elisavetgrad, 1897 – Paris, 1935), artiste central de la renaissance de l’art juif en Russie.
Sous la plume du critique Chil Aronson, Esther Carp (1897- 1970) est une « des femmes-peintres les plus douées de l’École de Paris ». À l’occasion du récent don de cinq œuvres et d’un ensemble d’archives, le mahJ propose de redécouvrir l’artiste à travers une présentation mêlant ses collections et des prêts extérieurs.