Lauréat du Prix Maratier 2020 délivré par la fondation Pro mahJ, le plasticien Dove Allouche a été invité à porter un regard créatif sur les collections du mahJ, pour produire une œuvre inédite.
Grâce au prêt exceptionnel du musée de Bat Yam (Israël), le mahJ présente, au sein du parcours des collections, un ensemble d’œuvres de jeunesse d’Issachar Ber Ryback (Elisavetgrad, 1897 – Paris, 1935), artiste central de la renaissance de l’art juif en Russie.
Sous la plume du critique Chil Aronson, Esther Carp (1897- 1970) est une « des femmes-peintres les plus douées de l’École de Paris ». À l’occasion du récent don de cinq œuvres et d’un ensemble d’archives, le mahJ propose de redécouvrir l’artiste à travers une présentation mêlant ses collections et des prêts extérieurs.
Le Père (1911) de Marc Chagall a été restitué aux descendants de David Cender, qui l'avait acquis en 1928. Inscrite à l’inventaire du Musée national d’art moderne, en dépôt au mahJ depuis son ouverture en 1998, cette huile sur toile était présentée en 2021 dans l’exposition « Chagall, Modigliani, Soutine... Paris pour école, 1905-1940 ». Elle a fait l’objet d’un ultime accrochage dans les salles du mahJ avant sa restitution.
Jusqu’au 2 janvier 2022, le public peut admirer, en salle médiévale, la bague de mariage du trésor dit de Colmar, exceptionnellement prêtée par le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge.
Le mahJ présente un accrochage d'œuvres de ses collections offertes par deux grandes collectionneuses, filles des peintres de l'École de Paris, Michel Kikoïne et Léon Weissberg.