«Après les colloques Shmattès (2004) et Panim (2006), du fil de soi au visage de l’exil, nous aimerions interroger la question du nom. Les noms comme les visages nous identifient, ils portent l’histoire des ancêtres et se (trans)portent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit « de famille ».