Est-on juif quand on ignore sa religion et sa culture ? À la fin des années 1970 et au début des années 1990, Patrick Zachmann mène une longue « enquête » sur les juifs de France, à la recherche de sa propre identité.
Le mahJ présente les dessins de la série graphique The Parade de Si Lewen (1918–2016), réalisée en 1950. Peu connu en Europe, cet artiste américain d’origine polonaise a marqué la scène artistique américaine de l’après-guerre avec une œuvre conjuguant dessins, peintures et collages.
du mercredi 19 mai jusqu'au dimanche 10 octobre 2021
En écho à l’exposition « Chagall, Modigliani, Soutine… Paris pour école, 1905-1940 », le mahJ rend hommage à Hersh Fenster (Baranow, 1892–Paris, 1964), journaliste et écrivain yiddish, auteur d’Undzere farpaynikte kinstler (Nos artistes martyrs), publié à Paris en 1951. Tout à la fois mémorial et livre d’art, cet ouvrage retrace les trajectoires de 84 artistes juifs de la scène française qui périrent entre 1940 et 1945. Autant de peintres, de sculpteurs, d’illustrateurs, hommes et femmes, dont l’œuvre a été interrompue prématurément et parfois détruite.
du jeudi 15 octobre 2020 jusqu'au dimanche 25 avril 2021
Le mahJ présente la première exposition consacrée à Pierre Dac (1893-1975). Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques éclairent le parcours personnel et l’œuvre de ce maître de l’absurde, qui présida à la naissance de l’humour contemporain.
du samedi 3 octobre 2020 jusqu'au dimanche 12 septembre 2021
Trois vidéos de Maya Zack sont présentées pour la première fois en France : la trilogie Mother Economy (2007), Black and WhiteRule (2011), Counterlight (2016-2017).
du jeudi 17 juin 2021 jusqu'au dimanche 31 octobre 2021
À travers plus de 130 œuvres et de nombreux documents inédits, l’exposition renouvèle le regard sur cette génération d’artistes arrivés à Paris entre 1900 et 1914. Parmi ces hommes et femmes, nombreux sont les artistes juifs venus des grandes métropoles européennes, mais aussi de l’Empire russe, qui cherchent une émancipation artistique, sociale et religieuse. Ils ne sont d’aucune « École » au sens traditionnel : ils ne partagent pas un style, mais une histoire commune, un idéal et, pour certains, un destin.