L’installation au mahJ de Raphaël Denis est une réappropriation mémorielle du fonds du marchand d’art Paul Rosenberg, victime des spoliations nazies. L'artiste-chercheur explore la question des spoliations d’œuvres d’art survenues en France pendant la Seconde Guerre Mondiale depuis presque une dizaine d’années, à travers un ensemble d’installations nommées de Loi normale des erreurs.
Dans le cadre de l'Olympiade culturelle, le mahJ consacre une exposition consacrée au photographe hongrois André Steiner, pionnier de la « Nouvelle Vision », qui exprima son talent en fixant des corps athlétiques et en mouvement dans le Paris des années 1930.